SabineTheGreat

Les confidences de Calypso

Mardi 29 mars 2011 à 19:05

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      La prudence ne prévient pas tous les malheurs, mais le défaut de prudence ne manque jamais de les attirer 

              Une petite blague légère ...beaucoup d'embarras ...un dessin sans nom... tombé dans les mauvaises mains...HI FIVE Mademoiselle JUIN!


Mercredi 9 mars 2011 à 20:17


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Gonna wear my feathered headdress
Like an Indian chief
Gonna stretch out both my arms
I'm gonna taste the temperature

Even though I know my way around
Possibly there's something new I found
Holding on for finding solid ground

I think it's time to put myself away
Seek out a little silence
Close the doors and sit a while
Maybe walk a little

And as I put my words away
The flow slows
See this feather in the stream
Picking it up is easy

Ash day it's on it's way
Listen to the bible what does it say?
But whoever has the world’s goods, 
and sees his brother in need,
and closes his heart of compassion against him, 
how does the love of God remain in him?

What do i learn?
Who's the brother in need?
What if the brother  needs more than
what you're able to give?

What if he needs a proper life so much that he
would rather take a good one away?
Do you have to be the one doing the sacrifice
just because it feels so good to help and  you'll be blessed someday?

Are you really giving a hand to your brother?
What if you would be the remaining lover?
Is it better to let your brother walk without shoes
experiencing the shape of ways, have sometimes the blues
or do give him yours and let him fall
with it knowing it was to big for him to handle?

Mercredi 9 mars 2011 à 20:04



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I drew a watch on my wrist once upon a time. It reminded me of the present you gave me. 

It was smeared on my face later after I had fallen asleep

and  as I told someone 
about this he said “What did you learn, that time is everywhere?”

and I said “No, that every action has a counter action.”
 
 
 
Today is  Wednesday

Go out, look up at the sky, feel it all around you, above you, and in you. 

And trust that somewhere I’m looking up too. 

Feeling you, breathing you in. 

Visualize where you want to send your love, 

give it where it’s needed. 

Now breathe your love there. With your mind and   your heart.

Create a good counter action because of your positive intentions

Samedi 5 mars 2011 à 21:00

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Charming
                                Handsome
                                Luxurious
                               Outstanding
                              Elegant 


                                          pix by me angers 2010

Vendredi 4 mars 2011 à 18:33

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*
  Quand l'esprit s'éveille   *
* à un monde dépourvu de soleil, *
* quand dans l'obscurité *
* le sombre bruit de la tristesse vient nous enlacer, *
* l'homme encore s'émerveille *
* et alors tend l'oreille *
* à la venue d'un plus grand espoir * 
* se permettant de rêver dans une nuit toujours plus noire *

* Dans le crépuscule cet incrédule *

*
ne voit pas la mort d'un chemin mais la promesse d'un lendemain *
* Lui la majuscule, sa vie la virgule *
* certain que les mots n'ont point de fin, entamant un nouveau refrain. *

* A chacun de ses pas, embrassant son propre alleluia *
* Sa démarche interpelle, brisant nos lassantes ritournelles *
 * A l'heure où chacun est délibérément en quête de sa voie *
* l'homme rayonne dans sa foi, fait ce qu'il doit et advienne que pourra. *

Lundi 14 février 2011 à 23:25


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Cette phrase m'a hanté longtemps après avoir quitté la salle il y a quelques années.
Elle est la clef de voûte , l'espoir d'une vie à deux possible, longtemps. 
Elle est assez définitive, et pourtant, elle soulage, surgissant en forme de rédemption,
terriblement actuelle et tellement vraie. 
Une grande tendresse imbriquée d'une tristesse qui désempare, une belle déclaration.
Procurant la joie indicible et tranquille de celui qui sait et  racontant l'histoire
d'un besoin d'être aimé, d'être à l'abris, de se consumer indéfiniment à deux.


♥ ♥ ♥

Mon feu nourri de questions
sur le pourquoi du comment
de mon coeur et ses raisons
ne trouvent pas de répondant
je ne manque pas de bonnes raisons pour t'aimer



A l’horizon le ciel défait
L’ange ruisselant se dessine
On voudrait s’aimer à jamais
Sous cette pluie que rien ne termine
Il pleut des cordes sur le génie
De la place de la Bastille
Nous nous couchons avant minuit
Dans des draps chauds qu’on éparpille
 Avril dépose sur manhattan
Du soleil et du bleu
Comme une éternité qui plane
Central Parc nous deux
Qu'importe
 
 
 Ton écharpe que le vent m'emporte


  Se faire des serments muets, des promesses aphones 
les mots de trop, nos langues se fatiguent Il faut se taire
nos lèvres sont sèches et nos bouches ont mieux
à faire que se prendre au mot, que se prendre au jeu



Oui, j'ai déjà aimé
pour la beauté du geste
mais la pomme était dure.
Je m'y suis cassé les dents.
Ces passions immatures,
ces amours indigestes
m'ont écoeuré souvent
Les amours passagères
ont des futiles fièvres,
et leur baiser trop verts
nous écorchent les lèvres
Les amours passagères
font de futils efforts
Leurs caresses ephémères
nous fatiguent le corps


Alors brûle!
Brûle quand tu t'enlises dans mon grand lit de glace
Mon lit comme une banquise qui fond quand tu m'enlaces
Plus rien n'est triste Plus rien n'est grave
Si j'ai...ton corps comme un torrent de lave

Être un corps je suis d'accord
T'offrir mes bras pourquoi pas
Mon lit ok encore
pour rire, en salir les draps
mais je crains que pour tout ça
Tu doives entendre je t'aime
.

All lyrics in italique from Alex Beaupain in les chansons d'amour, un film d'Honoré


Mercredi 9 février 2011 à 16:56

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Derrière mes volets, c'est le printemps pour bientôt. Je ferme les yeux, en m'étalant sur le parquet un peu chaud déjà,
j'ouvre les bras en ange  et j'éclate de rire sous les rayons de soleils qui chatouillent mes joues et mon cou.

Lundi 31 janvier 2011 à 16:53



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J’aime cette beaucoup cette fille. Ca devait être vraisemblablement une vraie chipie par moments, enfant gâtée. 
Mais gâtée au deux sens du terme: Abîmée, altérée, avancée, brouillée, cajolée, choyée, comblée, couvée, décomposée, défigurée, déformée, délabrée, dénaturée, déparée, déshonorée, dorlotée, faussée, fauchée, gâchée, sabotée, viciée. " 

Elle me fait toujours un peu mal au coeur quand je la croise de temps à autre en photo. Je la soupçonne d’avoir été brillamment intelligente. Peut-être trop pour le destin qu’on lui réservait. Intelligente et fragile, c’est toujours un cocktail détonnant.

C’était une princesse. Une vraie princesse rock’n roll. Brûlée par tous les bouts, par elle-même, par son père, par Andy Warhol.
Warhol, cet être talentueux qui a fort longtemps concentré toute mon attention et suscité  mon admiration profonde.
Si une des facettes de l'homme était artiste, l'autre était  manipulateur .
Si il a autant décliné les choses du quotidien ou les stars de notre société, c’est bel et bien parce qu’il se détestait plus que tout au monde.
Il multiplie, il vulgarise, il range des humains au stade d’objets de consommation.

Malheureusement exprimé dans son « art » il l’a aussi  pratiqué sur des êtres vivants. 
Parce qu’il ne se supportait pas, il détruisait les gens autour de lui. Je serais curieuse de compter le nombre de morts… 
Edie ne fit pas exception d'ailleurs, elle n'a pas dépassé trente ans. 
Quand il apprend par téléphone qu’elle est morte à 28 ans d’une overdose de barbituriques, il ne sourcilla pas.
La superstar de la Silver Factory  a dissipé sa lumière  et son sourire dans les nuits enfumées de l'usine Warholienne résonnante des Velvet Underground et poussièreuse  de cocaïne.

Edie est un peu notre Marylin trash, une héroïne au destin tragique, rongée par un monde qui au fond ne lui ressemblait pas tant que ça.
Un très beau film en son hommage a été réalisé il y a quelques années mettant en scène Sienna Miller dans son rôle dans  " Factory girl" je vous le conseil ;) !

So as was singing Edie...

.All the people are dancing
and they're having such fun
I wish it could happen to me
If you close the door
the night could last forever
Leave the sunshine out
and say hello to never

Dimanche 30 janvier 2011 à 15:26

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Ce qui me fascine le plus dans toute cette histoire, c’est que les gens qui sont censés le plus m’aimer, ne me connaissent absolument pas. Et je me demande si ça sera le cas pour mes enfants et moi. Grandiront-ils de telle façon que je ne serais pas capable, moi, leur mère, de les voir tels qu’ils sont, de connaître leurs véritables aspirations, leurs rêves, leurs univers respectifs ?

Je regarde mon père et il m’aime, je le sais. Mais il n’a pas la moindre idée de ce qui me fait vibrer, ce que j’aime, qui je suis in fine. Il aime passionnément une étrangère, une petite fille devenue adulte, un être auquel il n’a jamais strictement rien compris. Sa version des choses lui convient et à l’âge qu’il a, je lui accorde le répit.

Et voilà, que je touche du doigt le fossé entre lui et moi. J’essaye chaque jour que Dieu fait, de donner un sens à ma vie. Je me demande à chaque instant ou quasi ce que je suis exactement en train de faire. Je crois que mon père a vécu sa vie en faisant son devoir. Enfin, il a essayé. Je ne suis pas sûre qu’il se soit demandé à quoi ça servait tout ça, si toutes ses actions mises bout à bout avaient un sens. Je ne suis pas convaincue d’avoir raison de me triturer les méninges ainsi, c’est fatiguant. Mais je n’y peux rien. Je ne peux pas changer.
Je suis sa fille, je suis sa chair, je suis son sang, et il ne me connaît absolument pas. Je crois que parfois, même, je lui fais peur, car je suis l’inconnue, celle qui n’obéit à aucune des règles qui donnent le tempo à sa vie, la note disonnante.Je ne sais ce que je peux faire pour ne pas en arriver là avec mes enfants. Comment puis-je rester connectée à eux malgré les conflits, malgré la vieillesse, malgré la vie ? Que faut-il que je garde en ligne de mire pour accepter qu’ils deviendront ce qu’ils sont, non pas une projection que j’aurais d’eux, enfants ,et que j’agrandirais comme ça m’arrange ? Comment réussir à accepter que « la photo » que j’ai prise d’eux, petits, ne correspond plus à la réalité ? Comment rester proche d’eux ? Vraiment ? Sans qu’ils me mentent parce que c’est plus facile, sans qu’ils fassent semblant avec moi pour avoir la paix ?
Je crois qu’il faut accepter en tant que parents, que non, nous ne connaissons pas si bien nos enfants que ça. Ce n’est pas parce que c’est notre chair et notre sang, que nous savons. Nous devrions être capables de les envisager comme de parfaits inconnus et d’avoir apprendre à les connaître.C’est peut-être ça le fond de l’histoire. Réaliser que les enfants, nous les rencontrons deux fois. Quand ils naissent et quand ils deviennent pleinement eux-mêmes.

Ou, ce serait bien de se donner des rendez-vous de vie où ils pourraient déballer leurs aspirations, leurs rêves, leurs chagrins, leurs espérances. A vingt ans. A trente ans. A quarante ans.Ou, mieux. Toujours regarder nos enfants comme d’éternelles rencontres, accepter d’être surpris et ne jamais en finir de les rencontrer encore et encore. Rester humbles. Etre parent d’un être humain n’a jamais signifié pour autant posséder les clés de son âme…

Lundi 24 janvier 2011 à 20:53

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 Quand on en retrouve enfin les moyens. Pardon. J'avais besoin de te voir ailleurs. De t'imaginer. 
De te faire revenir a tous ces endroits d'où je t avais imaginé, ceux où je t'avais rencontré. 
Le problème avec toi c'est que je ne parviens même plus a te rêver. Alors je te danse. Toutes les nuits. 
Même celles qui ne t'appartiennent pas, t'ecoutent. Ces nuits pour t'entendre dire la sonnante vérité 
qui n'a pourtant jamais franchis tes lèvres, trop peu de courage. 
Ta beauté semble lointaine, la réalité t'a ternie j'en ai bien peur.
Et je ris, oh oui je ris, ce soir car ta colère, ton incompréhension ne me touche pas, parce qu'aujourd'hui j'ai décidé de vivre, 
de me libérer de cette prison dont tu ne voulais pas mais qui pourtant te rendait si fière.
Tu ne te retournes donc jamais, sauf quand la nuit tombe?Moi, je rêve de jour. 
Et la nuit, après l'ivresse tu es seul et fragmenté. Moi je me rassemble et je me relève.

As a lover or as a friend, you both messed up a lot lately,
And when feeling is getting dangerous and you might loose both you climb back with
strokes of little affections, with bits of little attention.
You're faking it, according to you you cared about this friendship,
But ireally doubt you do sometimes.
Boys need trust and they need to be conforted in their perfomance, it's what matters..
For woman, the quality of any relationship is the goal,
We need little attentions to see who cares and who don't,
And according to my girl sense you give me exceptionally trust and still,...
But for the rest..let's just not talk about it.
So from now on you'll be the one making efforts dear
If you're in? Good, and if you're out ?whatever...
I will not be the one fighting on my own anymore,
See what you wants, find the important things,
And walk YOUR way, that's what matters,
and if i'm not on the way or at the end, then that's just how it should be.
I don't keep you a room in my life, you'll have to dig if you want to sit somewhere.
As a friend for a start.

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