* Quand l'esprit s'éveille *
* à un monde dépourvu de soleil, *
* quand dans l'obscurité *
* le sombre bruit de la tristesse vient nous enlacer, *
* l'homme encore s'émerveille *
* et alors tend l'oreille *
* à la venue d'un plus grand espoir *
* se permettant de rêver dans une nuit toujours plus noire *
* Dans le crépuscule cet incrédule *
*ne voit pas la mort d'un chemin mais la promesse d'un lendemain *
* Lui la majuscule, sa vie la virgule *
* certain que les mots n'ont point de fin, entamant un nouveau refrain. *
* A chacun de ses pas, embrassant son propre alleluia *
* Sa démarche interpelle, brisant nos lassantes ritournelles *
* A l'heure où chacun est délibérément en quête de sa voie *
* l'homme rayonne dans sa foi, fait ce qu'il doit et advienne que pourra. *